Récupération de la bile d'ours en Chine
Quand je l'ai lu pour la première fois, je n'y croyais pas. Cela fait partie de ces choses qu'on aimerait ne même pas savoir, tellement c'est insoutenable. Mais c'est uniquement l'information qui permettra de créer et soutenir des mouvements forts qui pourront combattre ce genre de pratiques. Donc voici l'info:
En Chine, on garde des ours dans des cages minuscules. Les ours sont équipés de cathétaires branchés en permanence sur la vésicule bilaire. La bile est rècuppérée pour en faire un médicament utilisé de la médecine traditionelle. On estime le nombre d'ours ainsi maltraités à 6 000. Au Vietnam, il y 3000 ours esclaves.
Fort heureusement, il existe déjà une association qui parvient parfois à sauver ces pauvres créatures.
http://www.aves.asso.fr/article.php3?id_article=37
http://www.animalsasia.org/index.php?module=2&lg=en
Plus d'infos:
http://news.bbc.co.uk/2/hi/asia-pacific/702576.stm
http://www.usembassy-china.org.cn/sandt/BearBileFarming.htm
http://www.commondreams.org/headlines05/0425-09.htm
ARTE a diffusé un reportage sur le braconnage d'ours en Californie. Les braconniers tuent les ours pour réccupérer la vésicule bilaire. Il la vendent aux magasins chinois de San Francisco.
Je pense qu'il y aurait de quoi faire dans le treisième arrondissement de Paris, car les produits de la médecine traditionnelle chinoise se vendent partout, où il y a des communautés chinoises importantes. Voici toutes les informations diffusées sur le site d'ARTE
jeudi, 17 janvier 2008 à 12:00 Rediffusions : Pas de rediffusion | <>>
Scènes de crimes sauvages
(Royaume Uni , 2007, 43mn)
ZDF
Réalisateur: Amanda Feldon
Des petits braconniers aux puissants hommes d'affaires implantés à Londres, New York ou Hong Kong, coups de projecteur sur les massacres d'animaux qui alimentent des trafics très lucratifs. Jusqu'à vendredi.
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La bile d'ours est une substance de luxe fort prisée en Asie. Elle est censée posséder des vertus curatives, guérir de nombreuses maladies et améliorer la puissance sexuelle masculine. D'où la fabrication de nombreux produits dérivés obtenus à partir de la bile prélevée sur des animaux en captivité dans des centaines de fermes d'élevage en Chine et en Asie du Sud-Est. Chaque ours est enfermé dans une cage minuscule. Le "précieux" liquide jaune est recueilli deux fois par jour par l'intermédiaire d'un cathéter posé dans le flanc de l'animal.